Jazz manouche métissé de musiques du monde et de compositions originales

Les Violons de Bruxelles, c’est un cru rare : cinq cordes comme cinq cépages, assemblés avec finesse et passion. Porté par Tcha Limberger, ce quintet acoustique explore un jazz manouche métissé de musiques du monde et de compositions originales.
Une musique vivante, élégante et généreuse, à déguster sans modération !

La musique, c’est d’abord le silence.
Puis surgit un pied qui frappe le sol et lance le tempo. Ensuite viennent les vibrations.
Celles des Violons de Bruxelles : une signature sonore inédite !
Rien, dans l’histoire de la musique, ne proposait un tel assemblage, aussi personnel qu’un travail de vigneron.

Cinq cépages à cordes : quatre instruments à quatre cordes, un à six cordes.
Pincées, frottées, frappées, effleurées… tout est exploré !
Et l’un de ces cépages, Tcha Limberger, possède deux cordes de plus – dans la gorge – pour plus de rondeur et de gourmandise.

Une fois happé par cette alchimie rythmique, il ne reste plus qu’à savourer les mélodies. Le terreau est bien sûr Django Reinhardt et le jazz manouche.
Mais notre vigneron a voyagé, s’est inspiré d’autres terres fertiles : le Brésil (Choros), les États-Unis (Armstrong, Clifford Brown…), le Venezuela (Joropo), la Belgique (compositions originales)…
Les Violons de Bruxelles proposent un répertoire venu des quatre coins du monde, avec un seul mot d’ordre : « C’est beau ! »
Et en plus, ça groove !

Leur premier concert ? Le 24 septembre 2010. Un « one shot », soi-disant !
Depuis, Tcha Limberger, Renaud Dardenne, Renaud Crols, Alex Tripodi et Sam Gerstmans arpentent les scènes, convainquent, et font vibrer leur public avec une musique aussi acoustique qu’authentique.

Une passion pour les choses bien faites, sincères et généreuses.

Et ils le constatent : les salles sont souvent pleines, le public revient dès qu’il le peut.
À force de répétitions, d’amitié et de créativité, les Violons de Bruxelles continuent de surprendre.

Dans leurs bagages : trois albums, et une envie intacte de partager leur art.

Mais d’abord… écoutons le silence.